En Guinée en général c’est comme ça dès que tu t’opposes à moi, je te donne du fil à retordre.
Notre prévôt tout blanchi et propre semble perdre de vue la boussole en lançant des attaques tous azimuts, même contre l’opposant légendaire. On aurait attendu sa retraite politique pour lui faire voir des dossiers d’une époque que tout le monde sait. Comme on l’a fait avec Sarkozy. Mais comme le chameau ne voit que la bosse de son voisin, nous craignons fort que les constructions intellectuelles jusque-là accomplies n’aboutissent à une fissure qu’on commence déjà à ressentir dans le pays. Tout ce que nous faisons, il me semble que nous le faisons pour l’humanité, pour le bien-être des fils d’Adam et d’Eve, pour le bien-être en soi et autour. Sincèrement, tout en sachant que j’ai le bout du canon au cul, s’il le faut, on devrait juger d’abord ceux qui, bravant le sixième commandement, ont ôté des vies comme si de rien n’était. La démocratie, je te survivrai…
L’aigle intrépide